IMPRIMÉS NEUTRES EN CARBONE

DORÉNAVANT, NOUS NOUS DISTINGUONS PAR DES IMPRIMÉS ENTIÈREMENT NEUTRES EN CARBONE !

Un toit recouvert de panneaux photovoltaïques, le reste de l’électricité nécessaire provenant de sources d’énergie renouvelables, une politique de recyclage pointue, l’utilisation d’encres bio et une voiture électrique pour les livraisons et les visites clientèle à proximité... Nous faisons de notre mieux, depuis des années déjà, pour réduire au maximum notre empreinte écologique, mais aujourd’hui, nous avons posé le dernier jalon en matière d’imprimés neutres en carbone en compensant les dernières émissions qui subsistaient. Nous ne souhaitons pas léguer le reste de nos émissions de CO2 et un impact environnemental aux futures générations. C’est notre responsabilité !

L’ensemble de notre processus de création, le prépresse, l’impression, la finition et la livraison de vos magazines, livres, catalogues, rapports annuels et brochures se déroule à présent d’une façon entièrement neutre en carbone, certifié par le label Vinçotte CO2logic, la garantie de véritables efforts en la matière.

COMPENSER LES ÉMISSIONS DE CO2,
COMMENT ÇA MARCHE ?

Après tous les efforts permanents pour diminuer les émissions de CO2, vous pouvez contrôler ce qu’il reste encore comme émissions -- ce sont les émissions que vous devez donc compenser pour être entièrement neutres en carbone. Le reste de nos émissions s’élève pour l’instant encore à 804 tonnes. Par rapport à d’autres imprimeries neutres en carbone, cela peut paraître beaucoup, mais les impacts principaux ont correctement répertoriés.

Lors du calcul des émissions de CO2, on parle de trois portées :

Les parties calculées de ces portées sont pour nous :

Portée 1 : directes
Il s’agit de nos émissions directes d’énergie, de notre parc de véhicules, des éventuels systèmes de refroidissement et des émissions relatives à la production. Cela représente 7 % du total de nos émissions.

Scope 2 : indirectes
L’énergie, l’électricité et le chauffage (gaz et électricité) jouent ici un grand rôle. Grâce à l’utilisation d’énergies renouvelables, cela ne correspond plus qu’à 8 % de nos émissions de CO2.

Scope 3 et scope 3+ : autres indirectes 
On tient enfin compte des points suivants : voyages d’affaires éventuels, déplacement domicile-travail du personnel, articles consommables (papier !) et pour terminer, les déchets. 85 % du total de nos émissions de CO2.

Si tous ces calculs ont été réalisés correctement, vous connaissez le total des émissions restantes, et vous savez également ce que vous devez compenser afin de prendre vos responsabilités quant à votre impact sur le climat. Nous ambitionnons chaque jour une diminution permanente de notre impact sur le climat.

THE PARADIGM PROJECT

Afin de compenser le reste de nos émissions de CO2, nous soutenons The Paradigm Project au Kenia qui fournit aux familles des petits fourneaux sains, plus écologiques et plus efficaces pour cuisiner.

Trois milliards de personnes cuisinent encore aujourd’hui sur un simple feu. Une personne sur deux doit parcourir chaque jour de nombreux kilomètres pour ramasser du bois et ceci, pour respirer chaque jour l’équivalent de 44 cigarettes et dépenser un tiers de ses revenus pour acheter du combustible. De ce fait, des forêts entières disparaissent et ce sont chaque année environ deux millions de femmes et d’enfants qui décèdent après avoir respiré la fumée produite par cette façon de cuisiner à même le feu.

On investit également dans de meilleurs équipements pour l’approvisionnement en eau, l’eau ne devant alors plus être bouillie avant d’être utilisée. La nature reste ainsi préservée de ce trop-plein d’émissions de CO2 inutiles.

Un petit fourneau de The Paradigm Project veille en moyenne à : la préservation de 33 arbres, 1 300 heures de travail en moins passées notamment à ramasser du bois et pouvant être consacrées à d’autres choses importantes, une épargne d’environ 280 $ et jusqu’à une diminution de 70 % des émissions directes nocives de CO2 pour l’utilisateur ! 

« En outre, ces projets permettent de préserver davantage d’arbres qui, comme tout le monde le sait, purifient l’air de son CO2 », explique Filip Van Wezemael, gérant de Van der Poorten SA/NV.

 

POURQUOI SOUTENIR UN PROJET DANS UN PAYS
EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT ?

Dans les pays occidentaux, il y a une obligation de réduction des émissions de CO2, et on ne peut pas compenser davantage que nécessaire. Les Nations unies qualifient ceci de principe d’additionnalité. Par ce principe, vous pouvez uniquement compenser le CO2 dans un pays en voie de développement qui n’est pas tenu à cette obligation de réduction et où votre compensation veillera donc effectivement à une réduction supplémentaire. Vous ne pouvez par exemple pas simplement compenser vos émissions par la plantation de forêts qui ne sont pas certifiées. Car la certification Gold Standard par exemple garantit qu’il s’agit d’une réduction supplémentaire qui ne serait pas réalisée sans notre apport en matière de compensation de CO2. La compensation de CO2 doit également être « permanente », ce qui signifie que la réduction ou le stockage d’émissions de CO2 ne peut pas être à nouveau libéré(e) quelques années plus tard, sinon cela n’aura servi à rien. Pour de nombreux projets de forêts locaux et internationaux, c’est hélas le cas. On ne peut pas garantir que les arbres plantés ne seront pas abattus dans les années ou les décennies à venir. De ce fait, le CO2 stocké temporairement disparaît à nouveau alors que cette personne se qualifie de « neutre en carbone ». Ce n’est pas correct.

La réduction de nos émissions est par ailleurs un problème global qui doit être pris à bras-le-corps à un niveau global également. Les émissions de CO2 et les changements climatiques ne s’arrêtent pas aux frontières d’un pays. Réduire le CO2 d’une tonne ici ou à l’autre côté du monde a le même effet sur notre planète. Il est positif de réduire les émissions de CO2 au Kenya, car cela fait aussi diminuer les émissions de CO2 au niveau mondial. Dans ce cas, ce sont vraiment les petits ruisseaux qui font les grandes rivières.

Par ailleurs, nous participons ainsi à un projet de réduction du CO2 qui n’aurait pas pu voir le jour sans notre soutien et celui d’autres personnes. Nous soutenons le développement durable et l’économie locale et nous stimulons le développement socio-économique.

 

WE MAKE PAPER TALK!

Nous continuons bien entendu aussi à diminuer de façon drastique nos émissions de CO2. Plusieurs projets sont ainsi à l’étude. Notamment le remplacement de tous les éclairages classiques par des modèles LED, l’utilisation encore plus efficace de notre matière première (le papier) et la modernisation de notre flotte de véhicules en optant pour des modèles plus respectueux de l’environnement. Notre engagement, nous ne le soulignerons jamais assez, va donc bien plus loin que la simple compensation.

Nous souhaitons être pour vous un partenaire fiable avec qui vous souhaitez collaborer à long terme. C’est pourquoi nous accordons une si grande importance à l’aspect durable et à la qualité. Chaque jour, nous écrivons avec vous de nouvelles pages à cette histoire.

We make paper talk!